Les malheurs continuent. Le numéro 45 a connu, lui aussi, une mésaventure. L’imprimeur a sorti un numéro avec deux pages 33 identiques. Nous avons dû imprimer nous-mêmes la page 34 et la coller à sa place. Du bricolage qui nous a pris un peu de temps. On compte sur la compréhension des lecteurs. Nous sommes de modestes artisans et certains disent même que là réside l’attrait de la revue !
Un fidèle lecteur. Chaque année, pour le renouvellement de son abonnement, Yvon Schandler nous envoie une longue lettre où il n’est pas avare de remerciements et d’encouragements. Lié à la famille Margaine, il nous confirme et précise ce que Jean Claude Léger a pu écrire sur cette maison familiale et nous donne bien des renseignements sur les descendants Margaine. On va lui demander de dresser la généalogie de la famille.
Exposition collection. Les collectionneurs, principalement de cartes postales, s’étaient donné rendrez-vous salle Jean Depors à Sainte-Ménehould. Force est de reconnaître que l’affluence n’était pas au niveau des années précédentes. On espérait la venue de Madame et Monsieur Fiorini qui, chaque année, présentaient une exposition thématique de grande qualité. Mais ils ont préféré rester dans les Vosges où ils sont maintenant installés.
Parc naturel régional d’Argonne. Les étudiants de l’université de Nancy qui ont ausculté l’Argonne l’an dernier, présentaient les résultats de cette enquête qui a concerné plus de 300 personnes. Devant une grosse assistance, ils nous ont donné une photographie des Argonnais des plus intéressantes.
L’éditorial du numéro 45. En écrivant ces lignes soulignant que des groupes parfois stigmatisés apportaient beaucoup à la culture, je pressentais qu’il y aurait des réactions. Deux en tout et pour tout ! Un fidèle abonné me félicitant par courriel et un second, tout aussi fidèle, qui par lettre me dit que de tels propos « moralisateurs » n’ont pas leur place dans la revue. Il n’a peut-être pas tort, mais que voulez-vous, il faut savoir se faire plaisir de temps en temps.
Essoufflement. En fondant cette revue, je souhaitais qu’elle soit un lieu de rencontres pour tous ceux qui s’intéressent à l’histoire locale. Force est de constater de reconnaître que l’essentiel du contenu est apportée par un quarteron de retraités (peut-être un peu plus). Il nous faut absolument trouver de nouvelles forces vives qui donneront des contributions sortant de nos sentiers battus. Sinon
Nous éclairons la famille de Chamisso. A la lecture de nos articles sur le château de Vaux, nous recevons le message ci-dessous sur notre site :
« Petite fille de Bruno Guy, le mari d’Alice de Chamisso, j’ai eu connaissance de votre article par l’intermédiaire d’un ami d’une de mes nièces. Vos dires m’ont bien intéressée, d’autant plus que nous avions quelques ombres concernant la vie des ancêtres de notre père Bruno Guy, adopté officiellement par sa tante Isabelle de Chamisso, aux fins de perpétuer le nom. Merci pour tous ces renseignements. Martine Herouard, née »Guy de Chamisso".
Ecole de Verrières : Quelques années après le départ du couple Rousselle, M. Mignot a pris le relais.
Du beurre dans les épinards : De tout temps la forêt communale de Sainte-Ménehould a été une source de revenus pour la ville. Monsieur Le Hébel nous signale que lorsque le village de la Grange aux Bois, qui fait partie de la commune, décida de remplacer sa chapelle par une véritable église, le financement a été assuré par la vente de coupes de bois. Adjudication le 22 mars 1826 et inauguration le 7 juillet 1828, coût : 38 276F. Et tout cela sans abîmer le patrimoine !
Photos de classe : On vous rappelle que sur simple demande par courriel, nous pouvons vous envoyer par le même canal, les photos publiées. (fduboisy@orange.fr ou bouquinargonne@orange.fr).