Connaissance du Patrimoine Culturel Local
Le Petit Journal
de Sainte-Ménehould
et ses voisins d'Argonne
Edition régulière d'un bulletin traitant de l'histoire, des coutumes et de l'actualité.


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Courrier des lecteurs.



Argonnais, Argonaute : Denis Paquet, un Passavantin « exilé » à Paris, a lu avec intérêt l’article sur les Argonnais et nous dit qu’une rue de l’Argonne existe à Paris, une rue modeste dans le 15e arrondissement. A Bruxelles aussi on a une rue de l’Argonne, plus précisément à Saint-Gilles. Mais si la rue de Bruxelles a été nommée en hommage aux combats d’Argonne en 14/18, ne faisons pas cocorico car on dit que cette rue est un « vrai coupe-gorge »… Nous irons voir ces rues…

Le comte de Dampierre : Denis Paquet, toujours lui, connaissait l’histoire de ce meurtre, surtout que dans les « meurtriers » il y avait des gars de Passavant. Denis nous informe que deux Passavantins s’étaient engagés dans les volontaires de 92. Auguste Philippe G., brigadier, est mort en l’an 8 ; Pierre Antoine G., aide-chirurgien est décédé en 1810. Et notre lecteur se pose la question : « Si ces deux jeunes étaient complices dans le meurtre du comte, se sont-ils engagés pour disparaître ? »

Le nom du surveillant : Robert Canivet, fidèle lecteur, a hâte de connaître le nom du surveillant général du collège Chanzy. Il est impatient car la photo vient de sa collection personnelle. Denis Marquet, quant à lui, fait des recherches sur le collège.

Les profs du lycée Chanzy : Le surveillant général ? Il s’agit très certainement de M. Van Grevenynge, plus communément appelé M. Van, plus facile à prononcer. Son épouse était assistante sociale et directrice du dispensaire d’hygiène sociale rue Renard de 1949 à 54/55. Ils occupaient le logement de fonction situé au-dessus des bureaux (n°43, création du dispensaire). J.P. Vuillaume.

Lambretta : Jacques-Yves Renard, le beau-frère de notre secrétaire Jean-Pierre Vuillaume, et abonné de Marseille, a lu avec intérêt notre dernière revue et nous a écrit : « J’apprends beaucoup sur Menou, aujourd’hui bien plus que lorsque j’en étais habitant. » (Notre lecteur a quitté Menou en 57/58). Cela fera plaisir aux bénévoles du Petit Journal.
Mais il parle aussi du Lambretta : « En 1951, j’avais 16 ans et une moto ; à cette époque on passait le permis moto à 16 ans. » Puis après avoir rencontré la demoiselle Vuillaume, comme il dit, il vend sa moto et achète un Lambretta car sur route mouillée ils étaient un peu mieux protégés. « J’ai commandé le Lambretta chez Depors. Pendant les années suivantes j’étais seul à posséder un Lambretta. Un peu après, un marchand de radios (Bernard ?) a acheté un Vespa. »
Et les générations suivantes ont roulé (voir nos articles) en Lambretta.

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Sainte-Ménehould et ses voisins d'Argonne
Association déclarée le 06 février 1998
Siège social : Hôtel de ville
B.P. 97- 51801 Sainte-Ménehould