Le 100, un numéro pas comme les autres.

Le n° 100, avec toujours autant d’abonnés, de lecteurs, de partenaires, est arrivé ! Cela est dû, bien sûr, à tous ceux qui lisent la revue et pour le budget, à nos partenaires.

Pour ce n° 100, nous avons voulu remettre au jour des articles parus dans les premiers numéros en y ajoutant des informations nouvelles, en mettant de la couleur, en adaptant les textes dans le nouveau format.
Ceux qui écrivaient, dessinaient, prenaient des photos, étaient nombreux. Beaucoup ont quitté cette Argonne qu’ils aimaient tant. Des nouveaux venus, tout aussi passionnés et compétents, ont intégré l’équipe.
Les articles sont écrits en majorité par les bénévoles de l’association. Mais des auteurs, dont certains veulent rester anonymes, nous confient leurs articles.
Parfois nous relevons de simples informations : une photo, une coupure de journal... Alors commence le travail de recherche.
Et c’est la curiosité qui prime. Un exemple : Luc Delemotte a trouvé un document : une statue de Menou de l’église de La Neuville-au-Pont exposée au Petit Palais à Paris avec les œuvres d’art détériorées par les Allemands. C’était en 1917. Le questionnement internet : pourquoi exposer ces œuvres, qui a fait le choix, pourquoi cette statue et pas une autre ?
Patrick Desingly écrivait dans le numéro 2 : « Cette revue n’a pas d’ambition scientifique ou littéraire, mais simplement la volonté d’être un antidote à l’amnésie car rien n’est pire que l’oubli : la lecture est mémoire ! »

Le n° 100, 25 ans. Pour ce numéro exceptionnel, nous avons sélectionné et choisi des auteurs parmi les plus prolifiques (tout en se limitant aux premiers numéros) car il fallait bien faire un choix et se limiter aux 36 pages habituelles. Les autres articles pourront être consultés sur le site internet (voir page 2).
On peut aussi se procurer les anciens livrets chez Serge Franc, notre trésorier et archiviste (adresse page 2).
John Jussy
Note : Tous les anciens articles publiés dans ce numéro le sont dans leur version originale. Ils ont été scannés d’après les fascicules d’époque et les fautes ne peuvent être corrigées. Il y avait déjà quelques erreurs qui échappaient au correcteur...