Adoption des villages : Geneviève Humbert, du Chemin, nous écrit : « Je venais de découvrir cet article dans l’Est Républicain quand vous avez publié, dans les numéros 68 et 69,
l’adoption des villages marnais, histoire que j’ignorais. »
Cette histoire d’adoption de villages est certes peu connue jusqu’à ce que Dominique Delacour fasse les recherches historiques et nous conte cette page de l’Histoire.
Donc, dans la Meuse, le village des Eparges, détruit, reçut l’aide du village de Barboux, dans le Doubs. C’était le 12 décembre 1919 et les habitants, considérant que leur village n’avait pas souffert de la guerre, ont envoyé aux Eparges la somme de 10 000 Francs de l’époque. Les Eparges se situent au sud-est de Verdun (Henri- Alban Fournier alias Alain-Fournier, l’auteur du Grand
Meaulnes y trouva la mort à Saint-Remy-la-Calonne et y est enterré.) Le Barboux est un village de 246 habitants situé dans le canton de Morteau. Une histoire qui, dans notre Meuse voisine, a été ressortie du passé par « l’Association de l’Esparge » dont les bénévoles ont invité les descendants des donateurs pour une journée conviviale avec une découverte des sites de guerre.

Photo de pompiers : Lionel Lecorgne, fidèle lecteur, nous signale que dans la photo de pompiers parue en page 33 de notre numéro 70, le 3ème pompier du 1er rang n’est pas André Chaventré mais André Champion, surnommé « Doudou ».
Foire aux pommes : Dans la nécrologie dédiée à Jeannine Cappy, il a été écrit par erreur que la 1ère foire aux pommes, dont Jeannine était une des chevilles ouvrières, avait eu lieu en 1970 à Villers-en-Argonne ; la première foire aux pommes eut lieu en 1990 à Villers-en-Argonne Suivirent les foires 92 et 94 à Villers, 96 et 98 à La Neuville-au-Pont, en l’an 2000 à Florent, 2002 à Verrières et la dernière en 2004 à Moiremont.
Les chevaux de bois : Jacqueline Grisolet nous écrit pour nous remercier d’avoir « si bien mis en page son merveilleux conte de Noël » (article du n°70, Un atelier de chevaux de bois). Mais surtout Jacqueline pense à ses parents, Marie-Jeanne et Léon Pasquier : « Quel hommage à mes courageux parents qui ont dû vivre ces périodes si difficiles de l’après-guerre ; un profond merci pour eux. »